Ceva Wildlife Research Fund
Un fonds de dotation dédié à la recherche pour protéger la faune sauvage

Un fonds de dotation unique en son genre

Le Ceva Wildlife Research Fund a pour objectif de financer des projets de recherche appliquée ciblant les animaux sauvages. Les programmes financés par ce fonds de dotation permettent de mieux contrôler le risque de zoonoses, l’un des engagements majeurs de Ceva.

Unique en son genre, il contribue ainsi à la préservation de la santé des animaux sauvages, champ de la santé animale trop peu investi car ne constituant pas une activité économiquement viable.

Entité juridique distincte de Ceva Santé Animale, le Ceva Wildlife Research Fund est présidé par le Dr. Marc Prikazsky.
Son Directeur est le Dr. Pierre-Marie Borne.
Un comité scientifique composé de 7 personnes se réunissant a minima une fois par an est chargé de rendre des avis sur les différents projets (choix, évaluation et suivi).

Les missions du Ceva Wildlife Research Fund

  • S’engager pour la préservation de la biodiversité

  • Lutter contre les foyers de zoonoses – ces maladies transmissibles de l’animal à l’Homme

  • Faciliter les interactions entre la faune sauvage, les animaux d’élevage et les humains

Ceva Santé Animale a créé le Ceva Wildlife Research Fund avec pour principal objectif de financer des projets dont les résultats seront rapidement observables, avec des échéances de 3 ans à 5 ans maximum.

Parmi les solutions innovantes qui sont financées par le fonds de dotation, on retrouve entre autre, le vaccin, outil particulièrement efficace dans la limitation de la propagation des maladies inter-espèces, qui démultiplient le risque de transmission à l’homme.

S’engager pour la préservation de la biodiversité

Le Ceva Wildlife Research Fund a déjà contribué au financement de plusieurs projets de recherche appliquée pour protéger la santé des animaux sauvages. Certains de ces projets sont présentés ci-dessous.

Entre 2018 et 2021, la population de koalas en Australie aurait diminué de 30%. L’Australie a déclaré le koala de la côte Est comme espèce menacée depuis février 2022 et plusieurs raisons sont évoquées pour expliquer cette situation dramatique : d’une part, la destruction de leur habitat naturel due aux incendies ou à l’urbanisation grandissante du territoire ; d’autre part, la chlamydiose qui touche la grande majorité des individus concentrés dans l’Est de l’Australie. Cette maladie endémique dans ces populations a un impact sur la reproduction et la pérennité de l’espèce. C’est pourquoi le Ceva Wildlife Research Fund collabore étroitement avec l’Université de Sunshine Coast, à Brisbane (Australie), pour financer le développement d’un vaccin et les tests associés. Nous soutenons par ailleurs des études complémentaires pour un enregistrement officiel de ce vaccin.

Le Ceva Wildlife Research Fund soutient également le parc animalier belge Pairi Daiza, élu meilleur zoo d’Europe, en finançant un programme de vaccination contre la grippe aviaire, répandue en Europe et dans le monde et qui menace les pélicans et les paons du parc. L’institut Sciensano, laboratoire de référence national, contribue en assurant le suivi sérologique et virologique nécessaire, comme l’exigent les autorités belges.

Dans le cadre de ses financements de projets, le fonds de dotation s’est notamment penché sur le sort des fous de Bassan, pour les protéger contre l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène (IAHP) aux côtés du CNRS, avec la pose de balises GPS pour étudier les déplacements et des tests sérologiques pour mieux comprendre l’épidémie.

Le Ceva Wildlife Research Fund soutient aussi un programme de doctorat sur la conservation du pangolin, en collaboration avec l’Université de Pretoria et l’Université de technologie de Tshwane en Afrique du Sud, qui va permettre la collecte de données comportementales, tout en proposant des protocoles de relâchement. L’APWG (African Pangolin Working Group) supervisera la phase de science appliquée du projet, dont l’objectif est d’assurer la survie et le bien-être de cette espèce, en voie de disparition.

Mieux contrôler le risque de zoonoses

Les risques qui naissent des interactions entre l’Homme et les animaux sauvages tendent à se multiplier : 70% des nouvelles maladies infectieuses touchant aujourd’hui les humains sont d’origine animale et naissent principalement dans la faune sauvage. Il y a donc urgence à agir pour mieux comprendre les affections dont souffrent ces animaux, mieux les traiter pour éviter leur propagation à l’Homme.

Le contrôle des maladies qui naissent chez les animaux sauvages et le traçage de l’origine des foyers infectieux sont particulièrement complexes, ce fonds permettra, entre autres, d’apporter une tentative de réponses à ces problématiques.

Faciliter les interactions entre la faune sauvage, les animaux d’élevage et les humains

Il est urgent d’agir pour mieux comprendre et monitorer les interactions interespèces, afin de préserver la santé de la faune sauvage et par extension, celle de l’Homme.

La réduction des habitats favorise les déplacements de population et donc les interactions. Le fonds vise à soutenir des initiatives permettant aux espèces de cohabiter de façon la plus harmonieuse possible.

Les projets soutenus par le fonds

Collaboration dans 47 pays.
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